Faustin Munene : l’arrestation confirmée !

La confirmation du Gouvernement, par la voix de son porte-parole, Lambert Mende Omalanga, au sujet de l’arrestation du Général Faustin Munene, n’aura pas suffi, pour persuader les dubitatifs. Des questions du genre s’il est effectivement arrêté, pourquoi ne montre-t-on pas ses images ? Pourquoi ne sont-ils pas, lui et ses onze complices, extradés vers Kinshasa ? Ces questions sont multiples et complexes. Elles n’ont cessé d’ailleurs de tomber, depuis 48 heures, dans la boîte électronique de La Prospérité, votre Journal, qui, dans ses investigations, est tombé sur les photos de l’homme qui est passé, pour quelques temps, à la tête de l’Etat-Major Général des Fardc, sous Mzee Laurent- Désiré Kabila, à l’époque de la guerre contre la rébellion du Rassemblement Congolais pour la Démocratie. Faustin Munene, comme l’indiquent les images que nous publions dans cette édition, aurait été photographié
à Pointe-Noire, en vue de face, profil et même, par l’arrière-plan, peu avant son incarcération. Il nous revient, des sources sûres, qu’une délégation des officiels rd-congolais est rentrée fraîchement de Brazzaville où des discussions seraient engagées pour l’extradition, à Kinshasa, de Faustin Munene et ses compagnons d’infortune. Seulement, aucun mandat d’arrêt international n’ayant été lancé contre cet ancien vice-ministre en charge de l’intérieur et, au regard de l’inexistence d’un traité d’extradition entre les deux pays, Kinshasa et Brazzaville sont à la recherche des voies et moyens d’y parvenir autrement. A ce sujet, d’ailleurs, le Ministre Lambert Mende compte sur la justice militaire de Brazzaville, d’autant plus que Kinshasa, à l’en croire, venait de faire un geste similaire, en remettant à la Justice du Congo-Brazzaville un sujet de son pays, criminel de son état, qui était arrêté,
il y a peu, à Kinshasa.

Est-il arrêté ou pas ? S’il est effectivement arrêté, pourquoi ne montre-t-on pas ses images ? Pourquoi ne sont-ils pas, lui et ses onze complices, extradés vers Kinshasa ? Ce sont là des questions qui ne cessent de tomber, depuis 48 heures, dans la boite électronique de La Prospérité, votre journal, au sujet de l’arrestation, à Pointe-Noire, au Congo- Brazzaville, du Général Faustin Munene, l’ex-patron de la Chancellerie des Ordres Nationaux. Manifestement, la confirmation du Gouvernement, par la voix de son porte-parole, Lambert Mende Omalanga, n’a pas suffi à persuader les dubitatifs.
Le Quotidien d’Actions pour la Démocratie et le Développement, dans ses investigations, est tombé sur les photos de l’homme qui est passé, pour quelques temps, à la tête de l’Etat-Major Général, sous Mzee Laurent- Désiré Kabila, à l’époque de la guerre contre la rébellion du Rassemblement Congolais pour la Démocratie.
Faustin Munene, comme l’indiquent les images que nous publions dans cette édition, aurait été photographié, à Pointe-Noire, en vue de face, profil et même, par l’arrière plan, peu avant son incarcération.
Il nous revient, des sources sûres, qu’une délégation des officiels rd-congolais est rentrée fraîchement de Brazzaville où des discussions seraient engagées pour l’extradition, à Kinshasa, de Faustin Munene et ses compagnons d’infortune. Seulement, aucun mandat d’arrêt international n’ayant été lancé contre cet ancien vice-ministre en charge de l’intérieur et, au regard de l’inexistence d’un traité d’extradition entre les deux pays, Kinshasa et Brazzaville seraient à la recherche des voies et moyens d’y parvenir autrement.
A ce sujet, d’ailleurs, le Ministre Lambert Mende compte sur la justice militaire de Brazzaville, d’autant plus que Kinshasa, à l’en croire, venait de faire un geste similaire, en remettant à la Justice du Congo-Brazza un sujet de son pays, criminel de son état, qui était arrêté, il y a peu, à Kinshasa.
Que reproche-t-on au Général Munene ?
Difficile pour le moment de répondre à cette question avec exactitude. Ce qui est sûr, à se fier aux propos du porte-parole du Gouvernement RD- Congolais, ce que l’homme est recherché par la justice militaire de la RD-Congo et devra répondre de nombreux griefs, dont certains, indique-t-on, seraient politiques. Cet ancien maquisard, serait également accusé de fomenter une rébellion, à partir du Bas-Congo, contre les institutions issues des élections de 2006.
La Pros.