Le gouvernement et la Banque Mondiale propulsent le chantier Energie pour notamment améliorer la desserte en électricité en RDC.

 
             

La Banque Mondiale et ses agences d’exécution s’activent avec le gouvernement de la RDC à finaliser le dossier de financement additionnel de l’allocation IDA se rapportant à l’amélioration de la desserte en électricité en faveur des populations congolaises.

Le Gouvernement de la Rd Congo, à travers le ministère de l’Energie, la Banque mondiale et les Agences d’exécution ont convenu d’accélérer le travail pour bénéficier le financement additionnel de l’allocation IDA. Ce, en vue d’améliorer la desserte en électricité au profit de la population congolaise. Une séance de travail a réuni hier mercredi 01 décembre 2010 la Banque mondiale, représentée par sa Directrice des Opérations, Marie Françoise Marie-Nelly, et le Gouvernement représenté par le ministre de l’Energie, Gilbert Tshiongo, qu’accompagnait le n°1 de la Snel Yengo Masampu, ainsi qu’une brochette d’experts du cabinet.

A la même réunion participait aussi les Agences d’exécution des projets financés par la Banque mondiale du secteur Energie. Au menu de cette rencontre, il était question de responsabiliser chaque acteur pour un travail de qualité. « La Banque mondiale est très active dans le secteur de l’électricité et de l’eau avec d’importants financements », a indiqué le ministre Gilbert Tshiongo à la fin de cette réunion, avant d’ajouter qu’il faut pousser, accélérer le décaissement en vue de préparer les nouveaux dossiers qui permettront la mobilisation des ressources complémentaires. Et à l’occasion, un programme a été arrêté pour surmonter les difficultés.

Il sied de souligner que la réunion d’hier faisait suite à une mission de deux semaines réalisée à Kinshasa par le Directeur sectoriel de l’Energie auprès de la Banque mondiale. « Des actions bien précises et les points de blocage ont été identifiés et nous avons voulu faire le suivi après la mise en œuvre d’une aide mémoire qui est désormais signées par les deux parties sur les actions précises qu’il convient de faire et de façon pratique », a précisé le n°1 de la Banque mondiale en Rd Congo.