Roger Bongos sur les traces de Ngbanda

Ngbanda et Bongos

Roger Bongos sur les traces de Ngbanda

Rusé et margoulin,  un nommé Roger Bongos s’est amusé à diffuser sur la place publique des faussetés sur des situations très sensibles et dont la maîtrise lui échappe. Il emboite les pas à ceux qui planifient les actions contre la République Démocratique du Congo et ses dirigeants. Certains compatriotes se laissent prendre dans le mouvement, alors que les plus avertis comprennent les enjeux de l’heure. Roger Bongos, un soit disant journaliste trahit la corporation. Ce qu’il fait relève de tout, sauf du journalisme.  Il privilégie le sensationnel au lieu de centraliser l’article sur les faits. Et pourtant, les principes journalistiques sont clairs : les faits sont sacrés et les commentaires sont libres. A lire l’article de Bongos, il se présente en relayeur de fausses rumeurs. Et dire que Roger Bongos est journaliste, c’est jeter un discrédit sur la  noble profession de ceux qui se chargent de la collecte, du traitement et de la diffusion des informations. Que Roger Bongos nous dise le nom de l’institution journalistique qu’il a fréquenté ou qu’il prenne le courage de s’annoncer comme un mouton noir qui a appris sur l’état. Soit.

Le   jeu de commentaire auquel se livre Roger Bongos est pernicieux. Il insinue l’organisation d’un coup d’état que le président Kabila serait entrain de préparer contre le président Dénis Sassou. Quelle imagination infructueuse ! Il copie servilement des stratégies de Ngbanda qui ont fait recettes dans ses débuts et qui ont finies par être démasquées. Bongos se lance sur un terrain glissant. Il ne cite aucune source fiable et s’éternise dans les généralités. Il ne mène aucune investigation et ne fournit aucun effort pour confronter ses prétendues sources d’informations. Il ne présente aucune motivation qui pousserait le régime de Kinshasa  à une action dont les retombées négatives affecteraient la population Congolaise. Ce sont des affirmations gratuites qui ne sont ni vérifiées ni fondées.

Pur élève de Ngbanda, il s’évertue à fomenter des histoires sans tête ni queue dont l’origine ne remonte que dans sa tête. Il engage de considérables énergies pour planifier des mensonges à mettre sur la place publique. Heureusement, les internautes ne sont pas dupes. Ces simulacres qui torpillent nos yeux n’ont leur place que dans le monde des idées comme le dirait Platon. Le menteur Bongos incarne en lui de nombreux vices. Est-ce l’oisiveté ou le manque d’information qui pousse Roger Bongos à imaginer des scènes de terreurs ? Seul le concerné peut choisir l’alternative.

Kinshasa et Brazzaville, les deux capitales les plus rapprochées du monde, entretiennent de très bonnes relations et disposent des commissions mixtes pour le règlement pacifique de différends. Un coup d’état planifié à partir de Kinshasa est un montage de toute pièce qui a pour objectif de discréditer le président de la République démocratique du Congo. A l’approche des élections de novembre 2011,  tous les moyens semblent bons pour affaiblir le régime de Joseph Kabila. Tous les efforts engagés par les ennemis du peuple se sont avérés, jusque là, vains. Face à cette cuisante défaite, ils ont pris la résolution de mettre en place un système qui peut dégrader les bonnes relations entre Kinshasa et ses voisin

Malheur aux prophètes de malheur ! Joseph Kabila demeure imperturbable. L’on sait néanmoins qu’on ne s’attaque qu’au candidat sérieux. Il y a de cela quelques mois, la même équipe voyait en Sassou le soutien des mouvements insurrectionnels des Enyeles. Aujourd’hui, la victime s’est muée en bourreau. Quelle mutation !

Si le ridicule pouvait tuer…

Roger Bongos, de manière inconsciente finit par se trahir. Il relève, à la dernière phrase de son article que tout ce qu’il a raconté n’était pas vrai. Il a fait gober des mensonges à certains compatriotes qui n’ont pas tiré attention sur ce mea culpa final de notre improvisé journaliste d’investigation. Quelle crédibilité peut-on accorder à ce monsieur ? C’est un menteur qui se met à la disposition des prédateurs, vautours et faucons qui ne jurent que par le changement de régime à Kinshasa. Ils peuvent ainsi revenir aux affaires, non pour servir, mais pour se servir. C’est trop facile de penser à la réussite d’un plan machiavélique pareil. Tout est en place. Ni ces tireurs des ficelles encore moins les vautours ne peuvent déstabiliser les institutions légalement établies. Les compatriotes qui expérimentent les bienfaits et les avancées enregistrés sous le mandat de Joseph Kabila ne se laisseront pas influencés par les propos déplacés de certains compatriotes égarés.

Le cerveau(Bongo) de Bongo a de sérieux problèmes. Il hallucine et devient dangereux, non seulement pour les internautes, mais aussi pour les compatriotes qui peuvent tomber sur des inepties racontées par notre investigateurs. Le menteur, qu’il soit haï de tous. C’est le sort qu’il faut réserver à celui qui se présente comme le disciple d’Honoré Ngbanda, le terrminator de triste mémoire.